Les 100 milliards de dollars par an estimés nécessaires par l’accord de Paris pour financer la transition énergétique, s’ils ne restent pas un vœu pieux, seront avant tout un nouveau moyen pour ces groupes industriels de tirer de nouvelles subventions de l’État. On peut être certain que le climat passera après… L’intérêt général de l’humanité est incompatible des intérêts particuliers de ces trusts qui pour satisfaire leurs actionnaires pillent les budgets publics, avec la complicité des gouvernements.