Je vous l’ai dit, nous avons besoin de développer la recherche sur l’humanité elle-même.
S’il « n’est de richesse que d’hommes », pourquoi leur consacre-t-on si peu d’attention ? La recherche mondiale en psychologie, en organisation du travail, ou dans le domaine des familles, est à mille lieues de ce qu’elle devrait être. Notre humanité a besoin de regards attentifs, et bienveillants, sur la façon dont elle se transforme elle-même.
Nous avons encore presque tout à apprendre, que ce soit sur l’effet des manipulations génétiques, ou sur la vie avec les téléphones mobiles, sur l’organisation du travail à distance ou sur celle de la cellule familiale.